Dans les bois
pendant que le loup n’y est pas
si le loup y était il nous mangerait
mais comme il n’y est pas,
il nous mangera pas
Loup y es-tu ?
M’entends-tu ?
Que fais-tu ?
Je tape les enfants….
Dans les bois
pendant que le loup n’y est pas
si le loup y était il nous mangerait
mais comme il n’y est pas,
il nous mangera pas
Loup y es-tu ?
M’entends-tu ?
Que fais-tu ?
Je tape les enfants….
allons donc, si le loup y était il se dépêcherait de partir, les humains sentent beaucoup trop mauvais.
Sans mettre son pantalon, sa chemise et ses chaussures ? Mais c’est quoi ce loup ? C’est un humain !
Perplexe je suis… et je n’ose imaginer le sens de tes mots. Bises depuis ici, et viens vite t’aérer. J’ai l’impression que tu en as besoin.
Ce soir,je tombe par hasard sur un reportage sur RFO Guyane. Les rues et les paysages de ce quartier me sont familiers. C’est grâce à toi. C’est Pigalle. Bises.
Ok pour déjeuner jeudi, et toi ?
Je suis un peu comme Leeloolène, avec un noeud dans la gorge. Mais je comprends sans doute de travers. En tout cas, je t’embrasse.
Mon père disait « je vais en prendre un pour taper sur l’autre ». Ca lui faisait probablement le même défoulatoire qu’à toi de l’écrire, puisqu’il ne l’a évidemment jamais fait.
Ah… que ferait-on sans nos enfants…. grrr…
Merkaat Luciole et Leeloolene savent ou ont compris. Il y a des mots que je voudrai écrire mais je n’y arrive pas encore. Mais il devient urgent de prendre des décisions pour protéger les enfants…
Et ça me tue…
Je me suis interrogé un petit moment en lisant ton post hier soir. Moral peu dynamique, énervement rentré, ou manifeste, défoulement sur clavier plutôt que sur cheveux et tout ce qui dépasse, aveu de faiblesse, bref, tout ce qu’il faut pour conduire l’ami blogueur courageux mais pas téméraire à ne pas commenter.
Je n’ai pas commenté, donc. Salami.
Pourtant, on le reconnaît là, l’ami blogueur, qui tente une réponse façon pointe des pieds, et tes amies qui te répondent savent y faire. Je vois bien qu’elles sont tes amies, qu’elles soient réelles, virtuelles, ou soeurs.
Je sais que tu aimes tes filles plus que tout au monde, et au delà des mots pour le dire. J’ai bien compris qu’elles n’étaient pas de tout repos, ce qui est riche de promesses et de projets. Mais il faut faire face à la tempête sous les crânes, aux volontés désordonnées, aux cocons qui craquent, aux étoiles errantes.
Alors, tu nous le dis parce que tu as tellement envie de le leur dire parfois, ce qu’elles ne peuvent entendre ni ne veulent: laissez-moi respirer.
Je serais un gros nul de ne pas te commenter, même si le commentaire n’est que banalités. Les banalités reposent. Je n’ai pas le talent de tes amies et mes gros sabots claquent sur les pavés de la ferme. Mais bon, le bruit de la ferme repose, aussi. Je t’embrasse.
Arg. Je voulais croire à autre chose… un énervement passager lié à un changement de cadre… mais non, donc.
Bon courage, alors…
Akynou : si tu trouves mon intervention déplacée supprimes là sans hésiter
andrem et les autres: Ce n’est pas Akynou qui meurt d’envie d’en prendre une pour taper sur l’autre, ce qui serait somme toute bien naturel, a quel parent l’envie n’est pas venu. Il y a un loup dans leur bergerie, la maman et les filles subissent ce loup chacune de façon différente et la maman est en train de se battre contre elle même d’abord afin de trouver la force de dire non au loup ( qui n’est pas en elle, qui est très réel et qui lui fait très peur) afin qu’il laisse leurs filles en paix. Comment dire l’innommable, Akynou choisie cette contine qui grince à nos oreilles et je mesure l’effort qu’elle fait pour ne dire que cela. Akynou ne dit pas « laisser moi respirer », elle se promène dans les bois avec ses filles et craint de rentrer chez elle et d’y trouver le loup qui tapera ses enfants. Tu as raison d’être l’ami qui commente Andrem et c’est pour cela que je prend cette liberté d’en dire un peu plus qu’elle, pour que ton amitié sache mieux tendre cette main-mots.
Bon……… Tu as mon numéro, sers-t’en sans hésiter…
Je t’embrasse fort.
Merci luciole, j’ai compris subitement en lisant la réponse d’Akynou au dessus, et tu confirmes ce que je craignais d’avoir compris…
Akynou, tu sais que je ne suis pas si loin, au cas où, n’est-ce pas ? Y compris pour de la logistique si nécessaire.
Akynou, j’avais compris, tu avais laissé un com. sur un blog (chez Meerkat je pense). Que pouvons-nous faire pour t’aider, te soutenir ?
Juste un petit mot pour te dire bon courage, même si ça ne sert pas à grand chose parce que je sais que tu es loin d’en être dépourvue. Juste un petit mot pour te montrer qu’on est là, histoire que tu ne te sentes pas trop seule au monde dans ces moments-là. Ca ne sert pas objectivement à grand chose de te dire tout ça, ce ne sont des mots, n’hésite surtout pas à demander plus si tu veux.
Merci. Pour le moment, il faut que je tienne le coup et vos messages d’amitié me font chaud au coeur. Les choses vont se mettre en place peu à peu. Mais j’ai du coup, assez peu de temps. Bon déjà, j’ai arrêté de pleurer. Ce qui n’est déjà pas si mal. Mais j’ai la sensation d’être dans l’irréalité la plus totale…
Comme andrem, je suis passée hier en restant silencieuse, espérant ne pas avoir compris alors que oui, j’avais cru comprendre.
Comme andrem, je me dis « salamie samantdi »
Mais pas que… parce que…
Est-ce un loup, le père de Lou ? un loulou, un chien méchant ?
Non. Un homme et non un animal.
Dans ce flou d’irréalité dont tu parles, tu trouveras la solution, elle se dessinera et de nouvelles places se dessineront pour chacun, peut-être meilleures, finalement, que ce que l’on croyait. Peut-être meilleures que celles d’avant, puisqu’il apparaît désormais que cela ne peut rester en l’état, dans cet état.
Te dire, redire que j’ai confiance en toi et que je vous embrasse tous.
C’est vrai que je reste toujours silencieuse … mais là. Tu sais combien je peux imaginer ce que tu ressens
Je t’embrasse fort. Et tes filles aussi.
Difficile de trouver les mots qui pourraient te donner rien qu’une seconde de chaleur. Sache que je pense à toi très fort. J’ai connu la tornade qui dévaste tout. C’est la seule période de ma vie où j’ai très fort désiré être plus vieille d’au moins un an. Je savais que ce n’était qu’un moment à passer. Même s’il fut long, il est passé et la sérénité est revenue. Tiens bon ma grande soeur. Je t’embrasse fort…
Je suis bien loin pour pouvoir t’aider mais je pense fort à vous, le coeur serré.
Que dire… J’attends vivement de pouvoir lire des choses plus joyeuses en ces lieux. Et surtout pas pour mon plaisir personnel, juste pour savoir que tu vas mieux. Et si des fois, malgré la distance, il y a moyen d’aider, d’une façon ou d’une autre… Ne pas hésiter.
Merci à vous tous merci à vous toutes, pour votre confiance. J’ai intérêt à être à la hauteur
Les dernières fois que nous en avons parlé je croyais que ça allait vers un mieux et espérais pour vous un quotidien plus joyeux.
Bon, j’t’envoie un mail de suite.
Je ne voudrais pas être passée sans laisser un message. Au fond on se connaît sans se connaître vraiment, on se croise toujours en deux phrases maxi. Mais je perçois une force en toi qui te servira j’en suis sûre à trouver et mettre en œuvre la meilleure solution pour toi et tes enfants.
Je t’embrasse, prends soin de toi.
En ce moment, le loup, il se contente de les ramener à la frontière les enfants… avec leurs parents
Klint, je ne parlais pas de ce loup là.