J’ai participé toute la semaine au jeu du sablier d’automne concocté par Kozlika et Samantdi, les deux plus belles comploteuses de l’univers du blog. Belles au sens propre, comploteuses au sens figuré bien sûr… Chaque soir, pendant une semaine, nous avons découvert un début de texte qui devait nous servir d’amorce pour un récit, un conte, une disserte, un truc écrit quoi… Car même s’il y avait quelques règles assez strictes (mais pas toujours respectées), nous étions assez libres de faire ce que nous voulions.
Ne voulant pas me faire accuser de plagiat, il est donc temps pour moi d’ouvrir cette cérémonie des César et de révéler qui se cache derrière le début de chacun de mes textes.
– Rendez-moi mon jouet commençait donc par un texte de Julien d’un blog inutile de plus.
– Les Amants du pont ferré suivent une amorce de Monsieur Ka de la Boîte à image, un texte sur Alexandre Trauner
On y voit une image du fameux pont, mais aussi de nombreuses peintures de Trauner…
– La fée crétine m’a été inspirée par quelques lignes du blog Kuala et moi, de Laure.
– Dé-ménage est une série d’aveux ou de constats qui ne doivent leur existence qu’à l’amorce d’Aymeric du blog Le Cinquième
– Quand je rentre de week-end n’est pas vraiment un texte, mais l’amorce d’Otir en était bien une (d’amorce, pas d’Otir, eh faut suivre). Je devais être plus fatiguée qu’à l’accoutumée ce soir-là.
– Pour Under the volcano, il a tout de même fallu que je me creuse la cervelle. En effet, l’amorce était d’une certaine Akynou, du blog Racontars.
– C’est quand le bonheur ne sort pas de la famille puisqu’il était tiré d’un très joli billet de Luciole.
Voilà, ainsi se termine ma soirée des Césars. J’espère que chacun sera content de la suite que j’ai donné à ses petites phrases. Il me reste à remercier les organisatrices, les lauréats et tous les participants pour la tonne de textes qu’ils m’ont donnée à lire et qui étaient ma foi, fort bons. Et à souhaiter vous retrouver l’année prochaine pour une nouvelle cérémonie.
- Le mardi 9 octobre 2007, 00:34 par Franck
Hé hé, on a eu la même idée à peu près au même moment \o/
2. Le mardi 9 octobre 2007, 02:53 par Otir
Puisqu’on me demande, moi, pour ma part, j’ai été très contente de ton traitement du texte « quand tu rentres de week-end », d’autant plus qu’à l’époque je ne m’étais même pas aperçue qu’il allait me plagier, et que j’ai trouvé qu’il s’adaptait on ne peut mieux à la phrase elliptique qui était soumise !
N’empêche on s’est bien amusés !
3. Le mardi 9 octobre 2007, 07:19 par Dom
C’est donc chez toi que je suis allée voir ce matin pour connaître les auteurs de nos amorces… tu as raison de leur rendre leur couronne, je vais faire de même.
Je suis d’accord avec toi, deux jours d’immense plaisir, je regrette que mon ordi ne m’ai pas laissé le loisir de participer avant (problèmes de claviiiiiiiiiiiiier !).4. Le mardi 9 octobre 2007, 10:47 par Akynou
Franck, Free doit te jouer des tours comme il m’en a jouer la semaine passée, tu es dans les Not Found
Otir, ce n’était pas vraiment un texte
Dom Samentdi l’avait fait fidèlement sur chaque billet. Je n’ai eu qu’à faire des copié collé5. Le mardi 9 octobre 2007, 10:54 par Franck
Ah oui tiens ! J’ai eu très peur tout d’un coup. Visiblement c’est retombé en marche (j’espère).
6. Le mardi 9 octobre 2007, 10:55 par Franck
Ah ben non, flûte à quoi jouent-ils ?
7. Le mardi 9 octobre 2007, 11:18 par andrem
Pourquoi qu’a dit pu rin, la Luciole?
Je ne sais pas d’où sort cet accent, mais pas de chez moi en tout cas. La question reste pourtant valable.
8. Le mardi 9 octobre 2007, 11:41 par Akynou
Franck : c’est par intermittence. Moi ça a duré une semaine entière. Et pour sauvegarder un billet une fois écrit, c’était la loterie… Falait que je fasse des sauvegardes avant… Quant à savoir à quoi ils jouent…
Andrem : Luciole retravaille
Faut qu’elle reprenne le rythme