Un des aléas de mon métier, c’est que parfois, on travaille aussi le soir.
Normalement, on vient le matin, et si il faut rester, il y en a deux qui se dévouent pour finir le boulot. Ça nous fait un peu d’heures sup et on peut récupérer en prenant une journée par ci par là…
Mais l’inspecteur du travail (de quoi il se mèle celui-là franchement, y’a pas des cas plus flagrant d’exploitation des masses laborieuses dans son secteur ?) a remarqué qu’il nous arrivait de faire des journées de plus de dix heures (assez rares cependant). Et a menacé le patron. Du coup, ben on décale. Celui qui bosse le soir, bosse pas le matin. Adieu jours de récupération. Et cet andouille d’inspecteur a réussi à nous imposer ce que nous refusions depuis longtemps, la flexibilité du travail…
Bref, là, je bosse sur des pages qui concerne la fiesta à Vilnius de soutien à Bertrand Cantat. Rien de neuf. Des photos de la soirée en exclu… Pas de quoi se relever la nuit. Juste un truc très triste et très con.
J’ai une faim que c’est pas possible…